Envoyez nous Saint Michel, le prince de la milice céleste, pour qu’il nous délivre des mains de nos ennemis et nous présente sains et saufs devant vous, notre Dieu et Seigneur.
Puissions nous toujours l’avoir comme protecteur, lui que nous savons revêtu par vous des charges les plus hautes, afin qu’avec son aide nous puissions résister aux vices et abonder en vertus et qu’après l’annulation de la sentence notre nom soit inscrit à jamais au livre de l’éternelle vie.
Nous avons tous besoin d’attention, d’écoute, d’amour, de tendresse. C’est le moteur de notre vie, c’est le moteur de l’être humain, c’est même le moteur de toute la création. En effet le monde animal ne peut, lui aussi, se passer de tendresse. Les documentaires animaliers ou simplement la compagnie de nos amis à poils ou a plumes nous le montre si bien. Le monde végétal communique aussi et prend soin de ses congénères … on le sait également depuis peu. Et malgré cela nous nous déchirons, invectivons, critiquons ….
Où est notre UNITÉ ?
Elle n’est malheureusement jamais acquise et c’est un travail et une attention de tous les jours de vouloir y souscrire… les raisons ou non raisons de la division planent autour de nous en permanence et il faut de la résistance, de la résilience pour y échapper. L’apôtre Paul dans sa lettre aux Ephésiens nous suppliait déjà, nous chrétiens, de mettre en œuvre dans nos vies cette UNITÉ puisque nous appartenons à la même humanité et plus encore car nous sommes tous enfants de Dieu, frères et sœurs les uns les autres.
« Vous ne formez qu’un seul corps vous n’avez qu’un seul Esprit … Ayez souci de garder, dans la Paix qui vous lie tous ensemble, l’unité de l’Esprit… Il n’y a qu’un seul Dieu qui est Père de tous, agit en tous et demeure en tous. Amen. (Ep 4,1-6)
En ces temps de crises pandémique, économique et sociale .. où nos divergences sont exacerbées par les difficultés, ayons à l’esprit que nous ne sommes qu’une grande famille qui doit vivre ensemble sous peine de se perdre. Mettons en œuvre un peu plus d’attention, de compréhension, de solidarité, afin de « porter haut » le commandement, la prière, la supplication de Dieu à ses enfants: « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (St Matthieu 22,39)
Je vous en supplie, donc, moi qui suis
prisonnier parce que je sers le Seigneur : vous que Dieu a appelés,
conduisez-vous d’une façon digne de cet appel. Soyez toujours humbles,
doux et patients. Supportez-vous les uns les autres avec amour.
Efforcez-vous de maintenir l’unité que donne l’Esprit Saint par la paix
qui vous lie les uns aux autres. Il y a un seul corps et un seul
Saint-Esprit, de même qu’il y a une seule espérance à laquelle Dieu vous
a appelés. Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême ;
il y a un seul Dieu, le Père de tous, qui règne sur tous, agit par tous
et demeure en tous.
Evangile selon St Matthieu 22,34-46
Quand les Pharisiens apprirent que
Jésus avait réduit au silence les Sadducéens, ils se réunirent. Et l’un
d’eux, un maître de la loi, voulut lui tendre un piège ; il lui
demanda : « Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? »
Jésus lui répondit : « «Tu dois aimer
le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ton
intelligence.» C’est là le commandement le plus grand et le plus
important. Et voici le second commandement, qui est d’une importance
semblable : «Tu dois aimer ton prochain comme toi-même.» Toute la loi de
Moïse et tout l’enseignement des prophètes dépendent de ces deux
commandements. »
Les Pharisiens se trouvaient réunis et
Jésus leur posa cette question : « Que pensez-vous du Messie ? De qui
est-il le descendant ? » — « Il est le descendant de David », lui
répondirent-ils. Jésus leur dit : « Comment donc David, guidé par le
Saint-Esprit, a-t-il pu l’appeler «Seigneur» ? Car David a dit : «Le
Seigneur Dieu a déclaré à mon Seigneur :
Viens siéger à ma droite, je veux contraindre tes ennemis à passer sous tes pieds .»
« Si donc David l’appelle «Seigneur»,
comment le Messie peut-il être aussi descendant de David ? » Aucun d’eux
ne put lui répondre un seul mot et, à partir de ce jour, personne n’osa
plus lui poser de questions.
Des mariés émus, des enfants heureux, une assemblée recueillie… c’était le mariage de Marie et Cyril samedi 11 septembre, unis devant Dieu par Père Robert dans un cadre champêtre et agréable.
Nous leur souhaitons beaucoup de bonheur avec leur grande famille de 4 garçons
L’Esprit nous a donné la vie ; laissons-le donc aussi diriger notre conduite. Ne soyons pas vaniteux, renonçons à nous défier ou à nous envier les uns les autres.
Frères, si quelqu’un vient à être pris en faute, vous qui avez l’Esprit de Dieu ramenez-le dans le droit chemin ; mais faites preuve de douceur à son égard. Et prenez bien garde, chacun, de ne pas vous laisser tenter, vous aussi. Aidez-vous les uns les autres à porter vos fardeaux : vous obéirez ainsi à la loi du Christ. Si quelqu’un pense être important alors qu’il n’est rien, il se trompe lui-même. Que chacun examine sa propre conduite ; s’il peut en être fier, il le sera alors par rapport à lui seul et non par comparaison avec autrui. Car chacun doit porter sa propre charge.
Celui qui est instruit dans la foi chrétienne doit partager les biens qu’il possède avec celui qui lui donne cet enseignement. Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. L’homme récoltera ce qu’il aura semé. S’il sème ce qui plaît à sa propre nature, la récolte qu’il en aura sera la mort ; mais s’il sème ce qui plaît à l’Esprit Saint, la récolte qu’il en aura sera la vie éternelle. Ne nous lassons pas de faire le bien ; car si nous ne nous décourageons pas, nous aurons notre récolte au moment voulu. Ainsi, tant que nous en avons l’occasion, faisons du bien à tous, et surtout à nos frères dans la foi.
Evangile: St Luc 7,11-16
Jésus se rendit ensuite dans une localité appelée Naïm ; ses disciples et une grande foule l’accompagnaient. Au moment où il approchait de la porte de cette localité, on menait un mort au cimetière : c’était le fils unique d’une veuve. Un grand nombre d’habitants de l’endroit se trouvaient avec elle. Quand le Seigneur la vit, il fut rempli de pitié pour elle et lui dit : « Ne pleure pas ! ». Puis il s’avança et toucha le cercueil ; les porteurs s’arrêtèrent. Jésus dit : « Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi ! ». Le mort se dressa et se mit à parler. Jésus le rendit à sa mère. Tous furent saisis de crainte ; ils louaient Dieu en disant : « Un grand prophète est apparu parmi nous ! » et aussi : « Dieu est venu secourir son peuple ! »
Quel plus grand bonheur que de faire entrer un enfant dans la grande famille chrétienne!… Léo a été baptisé Dimanche à la chapelle. Nous remercions ses parents de leur confiance en notre chapelle et en notre Eglise. Porté par la Foi de ses parents et tout l’amour de sa famille, Léo commence bien sa vie de petit garçon. Ses parrain et marraine ainsi que ses cousines l’ont assuré de leur présence à ses côtés et de leur affection pour le soutenir et l’accompagner tout au long de sa vie.
Eh bien, Dieu a fait ses promesses à
Abraham et à son descendant. L’Écriture ne déclare pas : « et à ses
descendants », comme s’il s’agissait de nombreuses personnes ; elle
déclare : « et à ton descendant », en indiquant par là une seule
personne, qui est le Christ. Voici ce que je veux dire : Dieu avait
établi un testament et avait promis de le maintenir. La loi, qui est
survenue quatre cent trente ans plus tard, ne peut pas annuler ce
testament et supprimer la promesse de Dieu. Mais si l’héritage que Dieu
accorde s’obtient par la loi, alors ce n’est plus grâce à la promesse.
Or, c’est par la promesse que Dieu a manifesté sa faveur à Abraham.
Quel a donc été le rôle de la loi ?
Elle a été ajoutée pour faire connaître les actions contraires à la
volonté de Dieu, et cela jusqu’à ce que vienne le descendant d’Abraham
pour qui la promesse avait été faite. Cette loi a été promulguée par des
anges qui se sont servis d’un intermédiaire. Mais un intermédiaire est
inutile quand une seule personne est en cause, et Dieu seul est en
cause.
Cela signifie-t-il que la loi est
contraire aux promesses de Dieu ? Certainement pas ! Si une loi avait
été donnée qui puisse procurer la vraie vie aux hommes, alors l’homme
pourrait être rendu juste aux yeux de Dieu par le moyen de la loi. Mais
l’Écriture a déclaré que le monde entier est soumis à la puissance du
péché, afin que le don promis par Dieu soit accordé aux croyants, en
raison de leur foi en Jésus-Christ.
Evangile : St Luc 17, 11-19
Tandis que Jésus faisait route vers
Jérusalem, il passa le long de la frontière qui sépare la Samarie et la
Galilée. Il entrait dans un village quand dix lépreux vinrent à sa
rencontre. Ils se tinrent à distance et se mirent à crier : « Jésus,
Maître, aie pitié de nous ! » Jésus les vit et leur dit : « Allez vous
faire examiner par les prêtres. » Pendant qu’ils y allaient, ils furent
guéris. L’un d’entre eux, quand il vit qu’il était guéri, revint sur ses
pas en louant Dieu à haute voix. Il se jeta aux pieds de Jésus, le
visage contre terre, et le remercia. Cet homme était Samaritain. Jésus
dit alors : « Tous les dix ont été guéris, n’est-ce pas ? Où sont les
neuf autres ? Personne n’a-t-il pensé à revenir pour remercier Dieu,
sinon cet étranger ? » Puis Jésus lui dit : « Relève-toi et va ; ta foi
t’a sauvé. »
Camille et Corentin ont pris le risque, malgré la pandémie Covid actuelle qui sévit, de garder la date de leur mariage prévu cet été… et ils ont bien fait !. Les restrictions se sont assouplies et c’est sous le soleil que nous avons pu les unir devant Dieu, dans un cadre magnifique, entourés de leurs familles et amis. La soirée qui devait suivre s’annonçait pour beaucoup sous le signe des retrouvailles après de longs mois isolés et la joie se lisait sur les visages.