L’Evangile de Thomas, l’Evangile de Jean, l’Evangile de Marie

L’Evangile de Thomas traduit et commenté par Jean-Yves Leloup

Albin Michel , Paris  collection Spiritualités vivantes poche , numéro 61

Parution :  avril 2006

Résumé: Les manuscrits de l’Evangile selon Thomas a été découvert en 1945 aux environs de Nag Hammadi en Haute-Egypte. Il est constitué de 114 logia ou paroles nues attribuées à Jésus.

L’Évangile de Thomas, découvert en 1945 à Nag Hammadi, est sans doute le plus célèbre des évangiles apocryphes. Le plus singulier aussi, puisqu’au lieu de raconter la vie et les miracles de Jésus, il nous livre le coeur de son enseignement en cent quatorze logia ou aphorismes. Certains sont communs avec les évangiles canoniques, mais la plupart jettent une lumière nouvelle sur la figure du Christ, qui y apparaît comme un maître spirituel aux accents gnostiques, dont la voix appelle à la méditation autant qu’à l’action. Cette traduction permet à chacun de mettre en oeuvre sa parole : « Celui qui cherche trouvera – à celui qui frappe de l’intérieur, on ouvrira. »

 

Evangile de Jean traduit par et commenté par Jean-Yves Leloup

Albin Michel , Paris collection Spiritualités vivantes poche , numéro 76

Parution :  mai 2007

Résumé: Le texte de l’Evangile est accompangé de commentaires qui renouent avec la méthode des Pères de l’Eglise ne dissociant pas science exégétique, connaissance philosophique et expérience spirituelle.

L’Évangile de saint Jean est « le Maître Livre » auquel il faut sans cesse revenir. Il ne nous donne pas seulement à penser, mais aussi à croire et à douter… mais peut-être plus encore à vivre, à pratiquer. Texte de haute poésie, mais aussi de dialogue où se rencontrent les cultures d’Orient et d’Occident, les pensées hellénistique et hébraïque, les voix de l’homme et la voix de Dieu, le quatrième évangile demeure toujours une source intarissable.

L’Evangile de Marie: Myriam de Magdala

Evangile copte du IIe siècle traduit du copte par Jean-Yves Leloup

Albin Michel , Paris collection Spiritualités vivantes poche , numéro 177

Parution :  janvier 2008

Découvert en 1945 parmi les autres Evangiles apocryphes de Nag Hamadi en Haute-Egypte, ce texte redonne toute sa primauté à la femme. La tradition l’attribue à Myriam de Magdala, la fameuse Marie-Madeleine, premier témoin de la Résurrection, et, par ce fait, considérée par l’apôtre Jean comme étant, bien avant Paul, la fondatrice de ce qui allait devenir le christianisme.

Le corpus des Évangiles s’est enrichi, depuis la découverte des manuscrits de Nag Hammadi, de nombreux textes fascinants attribués à Thomas, Philippe ou encore Pierre. Parmi eux, « l’Évangile de Marie » est le seul attribué à une femme ; écrit vers l’an 150, il est aussi un témoin précieux de ce christianisme primitif que la traduction de Jean-Yves Leloup, théologien orthodoxe et philosophe, nous permet d’approcher. Myriam de Magdala, cette Marie Madeleine qui fut le premier témoin de la Résurrection, transmet ici les enseignements secrets qu’elle a reçus en vision. La pécheresse des Evangiles canoniques se révèle alors comme l’amie intime de Jésus, détentrice d’une parole cachée même aux apôtres…

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