AUX SOURCES DE L’AMOUR

AUX SOURCES DE L’AMOUR

Auteur : Charles-Rafaël PAYEUR , préface de Dom Luis Fernando Castillo Mendez –  site C.R.Payeur 

En cette époque où tant de personnes s’interrogent sur le sens de la vie et recherchent parfois désespérément une réalité transcendant la banalité de leur existence ; en cette époque où l’amour n’a jamais été, à ce point, au centre des préoccupations humaines, Charles-Rafaël Payeur vous propose de revisiter le concept de la Trinité qui nous révèle les grands mystères de cette expérience surnaturelle qu’est l’amour. Dieu est amour et cela est d’une importance capitale pour tous ceux qui souhaitent mieux appréhender cette réalité. Vous découvrirez dans cet ouvrage qu’Il est non seulement la Source de tout amour, mais qu’Il nous apprend également à le vivre à travers le modèle de sa propre existence.

 

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L’ECOLE DE L’AMOUR

L’ECOLE DE L’AMOUR

Auteur : Charles-Rafaël PAYEUR    Préface de Peter Roche de Coppens – site C.R.Payeur

Aimez-vous les uns les autres est un adage que nous avons tous entendu, mais qu’est-ce que cela implique vraiment ? Comment y parvenir malgré les pièges qui surgissent devant nous lorsqu’il est question d’aimer ? Si nous cherchons tous à faire que l’amour ait une place réelle dans notre vie, nous constatons malheureusement que la chose demeure difficile et qu’il nous faut des outils pour y parvenir. Charles-Rafaël Payeur vous propose de découvrir les trois grandes exigences psychologiques nécessaires afin de vivre cette expérience, et les trois composantes spirituelles qui la constituent. Pour chacune d’elles, il vous suggère un exercice pratique de visualisation afin d’expérimenter ces réalités.

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Apprendre à faire silence

Apprendre à faire silence

Auteur : Grün, Anselm; traduit de l’allemand par Charles Chauvin

Desclée De Brouwer , Paris    collection Pensées pour vivre   Parution :  avril 2007

Résumé

S’appuyant sur l’expérience des moines de l’Antiquité (du IIIe au VIe siècle) et des Pères du désert et sur des apophtegmes qui font le lien avec l’époque contemporaine, le père Grün, bénédictin, prieur de l’abbaye bavaroise de Münsterschwarzach, dresse un panorama des attitudes intérieures, de la prière qui verbalise à l’oraison qui contemple et peut déboucher sur l’extase.

Quatrième de couverture

Dans un monde où le bruit, source de nuisances intolérables, nous envahit sans cesse, nombreux sont ceux qui aspirent au silence.

Soucieux de l’équilibre personnel, Anselm Grün, bénédictin de l’abbaye de Münsterschwarzach, s’appuie sur la riche expérience des moines, – notamment les Pères du désert – et sur de savoureuses anecdotes – les apophtegmes – pour mieux rejoindre ses contemporains dans leur quête de silence.

Il ne cherche pas à faire de ces derniers des moines silencieux, mais bien des êtres de désir, d’intériorité. Son maître-mot est «lâcher prise», c’est à dire renoncer à soi, faire taire ses crispations, ses idées fixes. Anselm Grün propose ainsi une vraie démarche de «recentrement», secret de l’évolution spirituelle.

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A la source de la force intérieure; éviter l’épuisement en utilisant les énergies positives

A la source de la force intérieure;éviter l’épuisement en utilisant les énergies positives

Auteur : Grün, Anselm; traduit de l’allemand par Christiane Lanfranchi-Veyret

Salvator , Paris

Parution :  février 2009

 

Moine bénédictin, l’auteur explique comment vaincre sa fatigue, conséquence des sources troubles dans lesquelles les hommes puisent : l’ambition, la volonté de se prouver quelque chose, le perfectionnisme. Selon lui, il existe des ressources abritées depuis l’enfance dans lesquelles il est possible de puiser sans perdre ses forces.

Quatrième de couverture

«Nous éprouvons souvent le sentiment que l’eau de la source qui nous fait vivre est trouble. Elle a perdu sa capacité régénératrice. Elle est altérée par des attitudes qui portent préjudice à notre âme ou par des émotions qui viennent la salir. Or, nous aspirons à cette clarté, à cette source de vie qui rafraîchit. L’eau de certaines sources manque de limpidité dès le départ et ne dispense que peu d’énergie. Il ne faut donc pas rester à la surface si nous voulons trouver une eau transparente et vivifiante. Il faut creuser plus bas, jusqu’aux sources qui rafraîchissent vraiment, qui fécondent notre vie et qui en chassent les aspects troubles. La réussite de notre vie dépend des sources que nous choisirons. Ce n’est que lorsque nous les aurons reconnues que nous pourrons les traverser pour atteindre la source pure au plus profond de notre âme. Celle-ci est inépuisable parce qu’elle ne naît pas qu’en nous, elle est un jaillissement divin.»


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La Liturgie oubliée; La prière eucharistique en Gaule antique et dans l’Occident non romain

La Liturgie oubliée, La prière eucharistique en Gaule antique et dans l’Occident non romain

Auteur : Matthieu Smyth Éditeur : CERF collection « Liturgie », Mars 2007

Collection « Patrimoines – Christianisme »

Matthieu Smyth s’est livré à une investigation patiente et systématique de la documentation disponible pour trouver des traces des usages liturgiques antérieurs à la réforme carolingienne. À la manière des archéologues, il a tenté de rassembler l’immense puzzle des pièces rescapées. Il s’est mis en quête de tous les vestiges, remplois et traces des documents recherchés, jusqu’à examiner les moindres indices. Il a identifié, classé, étiqueté, pour ouvrir la voie aux essais de reconstitution. Ce livre est un magnifique témoignage rendu à la féconde créativité des anciennes Églises locales. Modeste comme on l’est toujours devant des sources trop peu nombreuses et difficiles à interpréter, l’auteur donne à son enthousiasme la forme de la rigueur. Il livre finalement au lecteur une masse documentaire vérifiée et ordonnée, propre à le faire entrer plus avant dans le génie du christianisme.

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L’ANCIEN RITE DES GAULES: images de la liturgie céleste

L’ANCIEN RITE DES GAULES:  image de la liturgie céleste

Auteur : Klaus Gamber Traduit par le R.P. Michel de Bois-Aubry et T. Girard

Éditeur : Abbaye Saint Michel de Bois-Aubry

[…] Comme le fait ici sainte Hildegarde, la liturgie gallicane insiste toujours dans ses prières, ses lectures et ses cantiques, sur l’union de l’Eglise du ciel avec l’Eglise de la terre. Les participants au service divin savent que le Christ qui a été élevé Se trouve pourtant au milieu d’eux, Lui dont l’image est sous leurs yeux dans l’abside (plus tard, à partir de l’époque gothique, on a insisté davantage sur le coté douloureux du Sauveur). Les fidèles se sentent déjà dans le temple de gloire (Dn 3*53); pour eux qui regardent « non au visible mais à l’invisible » (2 Co 4* 18), les portes de la Jérusalem céleste sont grandes ouvertes, ils prennent déjà part aux noces de l’Agneau avec l’Eglise son épouse (Ap 9*7 et chantent l’alleluia qui n’aura pas de fin.

[…] le rite gallican se veut une image de la liturgie céleste. L’idée fondamentale est ici la même que celle développée par l’épître aux Hébreux et par les premiers pères de l’Eglise, particulièrement saint Clément de Rome, à savoir que le culte de la Nouvelle Alliance comme celui de l’Ancienne trouvent leur modèle originel dans la liturgie qui se célèbre devant le trône divin. On sait que Moïse a construit, sur l’ordre de Dieu, le tabernacle et tout ce qui concerne le culte exactement selon le modèle céleste qui lui avait été montré sur le Mont Sinaï (Ex 25*40, He 8*5). Ces modèles originaux jouent également un rôle important dans l’Apocalypse de Jean, ainsi en est-il de la tente du Témoignage (15*5), de l’arche d’Alliance et du rideau (11*19), du chandelier à sept branches (4*5) et de l’autel d’or (8*3).

Ces symboles imprègnent d’une manière très particulière la liturgie gallicane; elle se sait toutefois reliée aussi à l’action liturgique décrite dans l’Apocalypse, où les « Quatre Vivants » et les « Vingt-Quatre Vieillards » offrent leurs prières et leurs actions de grâce avec les choeurs angéliques et toute l’Eglise céleste (Ecclesia coelestis) à Celui qui siège sur le trône et à l’Agneau qui semble immolé, là sont rassemblés pour le festin des noces de l’Agneau ceux qui ont été vainqueurs de la bête (Ap 19).

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La Nuit Lumineuse

La Nuit Lumineuse

Auteur(s) : André Gouzes Éditeur : Bayard 2004

Pâques est la fête des fêtes pour les chrétiens.

C’est dans les textes, les rites, les gestes et les chants de la Semaine sainte que s’exprime le c?ur de leur foi. Or, qui parmi nos contemporains connaît encore la riche symbolique de la  » Grande Semaine  » ? Dominicain, musicien, artisan du renouveau du chant liturgique méridional enraciné dans sa terre et connu dans le monde entier, André Gouzes nous initie à la force anthropologique du mystère de Pâques, à son actualité toujours vive.

En écho à cette fête, il ouvre pour nous quelques pages de la littérature contemporaine, les plus beaux textes de la tradition chrétienne, et tourne nos re- gards vers douze chefs-d’?uvre de la peinture. Il nous invite à l’écoute de la musi- que et nous livre enfin dans un CD quelques-unes de ses plus belles compositions de chants pour la Semaine sainte. Voici donc le témoignage personnel de l’un des artisans du chant qui, depuis plus de trente ans, a le plus redonné vie par son ?uvre aux gestes séculaires de la liturgie pascale.

André Gouzes est né en 1943 dans l’Aveyron.

Dans les années 70, il a restauré l’abbaye cistercienne de Sylvanès. Elle est devenue sous son impulsion un centre culturel et spirituel renommé. Elle reçoit chaque année des dizaines de milliers de visiteurs, des choristes en formation, des festivaliers amateurs de chants sacrés.

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ANTE ALTARIA

ANTE ALTARIA

Auteur : Matthieu Smyth Éditeur : CERF collection « Liturgie », Mars 2007

Dans « La Liturgie oubliée » (Éditions du Cerf, 2003), Matthieu Smyth s’était intéressé aux prières eucharistiques dans les liturgies non romaines. Ici, il poursuit son investigation dans le même champ et se propose de reprendre pour elles-mêmes les questions que pose l’ensemble de la struc- ture de la célébration eucharistique, l’« ordo » de la messe.

On traite souvent de ces questions comme si les rites n’avaient pas de vie, pas d’histoire. Matthieu Smyth démontre à l’envi le contraire : telle formule qui faisait figure de clé de voûte apparaît sou- dain comme un ajout secondaire ; telle autre, naguère négligée, retrouve une signification originelle qui éclaire nos cérémonies d’un jour nouveau. Telle prière exhibe la marque d’un contexte histori- que caduc, tandis qu’une autre révèle son lien avec la définition même du rite, etc. Il en va des rites comme de tout le message chrétien : ils n’existent et ne sont appréhendables que dans leurs diverses réalisations historiques et culturelles concrètes.

Si Matthieu Smyth fait porter l’essentiel de son étude sur la liturgie de type gallican, c’est en effet que, plus que d’autres, elle a conservé dans sa simplicité et sa clarté le schéma de la liturgie eucha- ristique tel qu’il s’est établi au cours du deuxième siècle et que le décrit vers 155 la première « Apologie » de Justin Martyr. Ainsi à travers la tradition occidentale non romaine il est possible – et c’est une occasion unique – de remonter aux sources de nos traditions liturgiques, et de redécou- vrir une eucharistie qui reflète la conception antique du Mystère pascal.

AVIS : Il est intéressant de voir dans ce livre, qui est le fruit des toutes dernières recherches en la matière, a quel point les liturgistes de Gazinet furent inspirés par le Saint Esprit. En effet le plan de la messe retrouvé par les historiens, correspond en tout point à la messe de Gazinet.

 

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Découvrir les Apocryphes chrétiens

Découvrir les Apocryphes chrétiens

Auteur(s) : Edouard Cothenet Éditeur : Desclée de Brouwer, octobre 2009

Scènes de la vie de la Vierge ou adoration des Mages, enfance de Jésus ou figure de Marie-Madeleine, récits de la vie des Apôtres : les Apocry- phes chrétiens ont nourri depuis des siècles l’imaginaire occidental et continuent de fasciner.

Spécialiste averti du Nouveau Testament, et en particulier de saint Paul, le père Edouard Cothenet en propose ici une approche systématique et très pédagogique, en tenant compte des découvertes récentes. A leur ma- nière, ces textes permettent de jeter un autre regard sur les chrétiens des premiers siècles, tout en offrant de mieux connaître certaines légendes, images ou ajouts qui n’ont pas été sans influer sur notre manière de per- cevoir le christianisme.

A partir d’une vingtaine d’images commentées, Christine Pellistrandi éclaire de son côté l’apport des Apocryphes à l’art de l’Occident.

Bibliste, le père Edouard Cothenet est professeur émérite à l’Institut ca- tholique de Paris. Il a publié notamment une Petite vie de saint Paul et Exégèse et Liturgie, deux tomes, aux éditions du Cerf Après avoir tra- vaillé au CNRS, Christine Pellistrandi enseigne l’Écriture sainte au Col- lège des Bernardins.

Plusieurs fêtes de notre calendrier liturgique ne sont basées que sur la tradition transmise par les Apocryphes comme les Fêtes de l’Assomption et celle de la Présentation de Marie au Temple. Dans l’ancienne liturgie gallicane, il arrivait que ces textes soient lus avant la lecture de l’Épître durant la messe.

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Le Sens Spirituel de la Liturgie – Rational des Divins Offices

Le Sens Spirituel de la Liturgie – Rational des Divins Offices

Auteur(s) : Mgr Guillaume Durand de Mende

535 pages, 21 x 14 cm, 3 cm Éditeur : Ad Solem, 2003

Guillaume Durand, évêque de Mende (v. 1230-1296), est une des plus grandes figures de l’histoire de la liturgie occidentale. Son oeuvre majeure, le Rational des divins offices, est la somme de toute la tradition du sens spirituel ou sens mystique de la liturgie. De même que le commentaire traditionnel de l’Écriture recherchait, outre le sens littéral du texte, le sens spirituel (Jonas restant trois jours dans le ventre du poisson signifie mystiquement le Christ au tombeau), le commentaire de la liturgie mettait en lumière sa signification mystique (l’encensoir et ses charbons ardents représentent l’humanité du Christ brûlante de charité). Sauf pour les spécialistes, le Rational de Durand de Mende est tombé dans un oubli total. La conception traditionnelle de la liturgie qu’il représentait, celle des Pères de l’Église et des Médiévaux, a été écartée au profit d’un commentaire purement historique. Mais aujourd’hui, dans le domaine de l’exégèse de la Bible, l’exclusivité de la méthode historico-critique s’effrite et une place est faite à nouveau au commentaire spirituel. Pourquoi n’en serait-il pas de même en liturgie ?

Ce livre, cité très souvent par Mgr Patrick durant ses cours, nous plonge dans les coutumes gallicanes du XIIIe siècle.

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