L’association cultuelle qui régit l’Eglise gallicane fête ses 100 ans.
Bon anniversaire à toutes celles et ceux qui construisent l’Eglise Gallicane aujourd’hui.
Merci à Mgr Thierry, et à Dame Sylvie, qui la conduisent sereinement depuis déjà tant d’années à travers les aléas de la vie.
Bon Anniversaire à toutes celles et ceux qui ont fait l’Eglise Gallicane d’hier, Mgr Truchemotte, Mgr Poncelain d’Eschevannes, Mgr Jalbert-Ville, Mgr Giraud, Dame Alphonsine … et aussi à ceux moins connus, maillons tout autant indispensables.
Bon anniversaire à ceux et celles qui feront l’Eglise Gallicane de demain
Bon Anniversaire aussi à toutes celles et ceux qui se reconnaissent aujourd’hui dans cette Eglise et qui l’ont adoptée comme la leur, à tous ceux qui nous font confiance dans toutes nos chapelles … sans eux l’Eglise ne serait pas.
Merci à l’Esprit qui nous guide et nous permet de garder son souffle bienfaisant et de continuer le chemin.
Epître : St Paul aux Corinthiens (2 Co 11,19-33 et 12,1-9)
Vous qui êtes des sages, vous supportez si volontiers les fous ! Vous supportez qu’on vous traite comme des esclaves, qu’on vous exploite, qu’on vous dépouille, qu’on vous regarde de haut, qu’on vous frappe au visage. J’ai honte de le dire : nous avons été trop faibles à cet égard ! Cependant, là où d’autres osent se vanter — je parle comme si j’étais fou — je le puis moi aussi. Ils sont Hébreux ? Moi aussi. Israélites ? Moi aussi. Descendants d’Abraham ? Moi aussi. Ils sont serviteurs du Christ ? Eh bien — je vais parler comme si j’avais complètement perdu la raison — je le suis plus qu’eux. J’ai peiné plus qu’eux, j’ai été en prison bien plus fréquemment, frappé beaucoup plus et en danger de mort plus souvent. Cinq fois j’ai reçu des Juifs la série de trente-neuf coups, trois fois j’ai été battu à coups de fouet par les Romains et une fois on m’a blessé en me jetant des pierres ; trois fois j’ai fait naufrage et une fois je suis resté un jour et une nuit dans les flots. Dans mes nombreux voyages j’ai connu les dangers dus aux rivières qui débordent ou aux brigands, les dangers dus à mes compatriotes juifs ou à des non-Juifs a , j’ai été en danger dans les villes ou dans les lieux déserts, en danger sur la mer et en danger parmi de faux frères. J’ai connu des travaux pénibles et de dures épreuves ; souvent j’ai été privé de sommeil; j’ai eu faim et soif ; souvent j’ai été obligé de jeûner ; j’ai souffert du froid et du manque de vêtements. Et sans parler du reste, il y a ma préoccupation quotidienne : le souci que j’ai de toutes les Églises. Si quelqu’un est faible, je me sens faible aussi ; si quelqu’un est détourné de la foi, j’en éprouve une vive douleur. S’il faut que je me vante, je me vanterai de ma faiblesse. Dieu, le Père du Seigneur Jésus — qu’il soit loué pour toujours ! — sait que je ne mens pas. Quand j’étais à Damas, le gouverneur représentant le roi Arétas plaça des gardes aux portes de la ville pour m’arrêter. Mais, par une fenêtre de la muraille, on me descendit à l’extérieur dans une corbeille, et c’est ainsi que je lui échappai.
Il faut donc que je me vante, bien que cela ne soit pas bon. Mais je vais parler maintenant des visions et révélations que le Seigneur m’a accordées. Je connais un chrétien qui, il y a quatorze ans, fut enlevé jusqu’au plus haut des cieux. (Je ne sais pas s’il fut réellement enlevé ou s’il eut une vision, Dieu seul le sait).Oui, je sais que cet homme fut enlevé jusqu’au paradis (encore une fois, je ne sais pas s’il fut réellement enlevé ou s’il eut une vision, Dieu seul le sait), et là il entendit des paroles inexprimables et qu’il n’est permis à aucun être humain de répéter. Je me vanterai au sujet de cet homme — mais, quant à moi, je ne me vanterai que de ma faiblesse —. Si je voulais me vanter, je ne serais pas fou, car je dirais la vérité. Mais j’évite de me vanter, car je ne désire pas qu’on ait de moi une opinion qui dépasserait ce qu’on me voit faire ou m’entend dire. Cependant, afin que je ne sois pas enflé d’orgueil pour avoir reçu des révélations si extraordinaires, une dure souffrance m’a été infligée dans mon corps, comme un messager de Satan destiné à me frapper et à m’empêcher d’être enflé d’orgueil. Trois fois j’ai prié le Seigneur de me délivrer de cette souffrance. Il m’a répondu : « Ma grâce te suffit. Ma puissance se manifeste précisément quand tu es faible. » Je préfère donc bien plutôt me vanter de mes faiblesses, afin que la puissance du Christ étende sa protection sur moi.
Evangile : St Luc 8,4-15
De chaque ville, des gens venaient à Jésus. Comme une grande foule s’assemblait, il dit cette parabole : « Un homme s’en alla dans son champ pour semer du grain. Tandis qu’il lançait la semence, une partie des grains tomba le long du chemin : on marcha dessus et les oiseaux les mangèrent. Une autre partie tomba sur un sol pierreux : dès que les plantes poussèrent, elles se desséchèrent parce qu’elles manquaient d’humidité. Une autre partie tomba parmi des plantes épineuses qui poussèrent en même temps que les bonnes plantes et les étouffèrent. Mais une autre partie tomba dans la bonne terre ; les plantes poussèrent et produisirent des épis : chacun portait cent grains. » Et Jésus ajouta : « Écoutez bien, si vous avez des oreilles pour entendre ! »
Les disciples de Jésus lui demandèrent ce que signifiait cette parabole. Il leur répondit : « Vous avez reçu, vous, la connaissance des secrets du Royaume de Dieu ; mais aux autres gens, ils sont présentés sous forme de paraboles et ainsi «Ils peuvent regarder, mais sans voir, ils peuvent entendre, mais sans comprendre.»
« Voici ce que signifie cette parabole : la semence, c’est la parole de Dieu. Certains sont comme le bord du chemin où tombe le grain : ils entendent, mais le diable arrive et arrache la parole de leur coeur pour les empêcher de croire et d’être sauvés. D’autres sont comme un sol pierreux : ils entendent la parole et la reçoivent avec joie. Mais ils ne la laissent pas s’enraciner, ils ne croient qu’un instant et ils abandonnent la foi au moment où survient l’épreuve. La semence qui tombe parmi les plantes épineuses représente ceux qui entendent ; mais ils se laissent étouffer en chemin par les préoccupations, la richesse et les plaisirs de la vie, et ils ne donnent pas de fruits mûrs. La semence qui tombe dans la bonne terre représente ceux qui écoutent la parole et la gardent dans un coeur bon et bien disposé, qui demeurent fidèles et portent ainsi des fruits. »
Environ 150 personnes, chrétiens de différentes confessions, se sont retrouvées pour prier ensemble sur le thème proposé cette année. La lumière de notre baptême rappelée par les lumignons a été le lien qui nous a uni lors de cette célébration.
« Nous avons écouté les Écritures que nous honorons et qui sont notre richesse, et nous avons été nourris ensemble à la même table de la Parole. Nous emporterons avec nous cette sainte Parole dans le monde car la même mission nous unit : celle d’être Sel de la terre, Lumière du monde, celle de proclamer les Hauts Faits du Seigneur. »
Célébration oecuménique du samedi 16 Janvier à 18h à l’Eglise St Julien de Montbrison
La chorale qui accompagne les célébrations oecuméniques se rassemble une fois par mois soit à la chapelle gallicane soit à la cure de Montbrison ou dans une salle à Champdieu pour découvrir de nouveaux chants et harmoniser les voix de et les instruments, piano et violon, sous la direction de Bernard.
C’est un vrai plaisir de chanter ensemble, une autre forme de prière dans la louange du chant.
Les communautés catholique, gallicane, orthodoxe et protestante de Montbrison vous invitent à une célébration commune pour la « Semaine de l’Unité des Chrétiens » suivant le fascicule proposé cette année par la Lettonie et validé par les Eglises.
Debout, Jérusalem, brille de mille feux, car la lumière se lève pour toi : la glorieuse présence du Seigneur t’éclaire comme le soleil levant. L’obscurité couvre la terre, la nuit enveloppe les peuples. Mais toi, le Seigneur t’éclaire comme le soleil qui se lève. Au-dessus de toi apparaît sa présence lumineuse. Alors des nations marcheront vers la lumière dont tu rayonnes, des rois seront attirés par l’éclat dont tu te mettras à briller. Regarde bien autour de toi, et vois tous tes enfants : ils viennent et se rassemblent auprès de toi. Tes fils arrivent de loin, on ramène tes filles en les portant dans les bras. En les apercevant, tu rayonnes de bonheur ; tu en es tout émue, ton coeur éclate de joie. Car les richesses de la mer arrivent chez toi, les trésors des nations affluent jusqu’à toi. Ton pays se couvre d’une foule de chameaux : ce sont les caravanes de Madian et d’Éfa, arrivant toutes de Saba. Elles apportent de l’or et de l’encens en chantant les hauts faits du Seigneur.
Evangile : St Matthieu 2,1-12
Jésus naquit à Bethléem, en Judée, à l’époque où Hérode était roi. Après sa naissance, des savants, spécialistes des étoiles, vinrent d’Orient. Ils arrivèrent à Jérusalem et demandèrent : « Où est l’enfant qui vient de naître, le roi des Juifs ? Nous avons vu son étoile apparaître en Orient et nous sommes venus l’adorer. » Quand le roi Hérode apprit cette nouvelle, il fut troublé, ainsi que toute la population de Jérusalem. Il convoqua tous les chefs des prêtres et les maîtres de la loi, et leur demanda où le Messie devait naître. Ils lui répondirent : « A Bethléem, en Judée. Car voici ce que le prophète a écrit : «Et toi, Bethléem, au pays de Juda, tu n’es certainement pas la moins importante des localités de Juda ; car c’est de toi que viendra un chef qui conduira mon peuple, Israël e .» Alors Hérode convoqua secrètement les savants et s’informa auprès d’eux du moment précis où l’étoile était apparue. Puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez chercher des renseignements précis sur l’enfant ; et quand vous l’aurez trouvé, faites-le-moi savoir, afin que j’aille, moi aussi, l’adorer. » Après avoir reçu ces instructions du roi, ils partirent. Ils virent alors l’étoile qu’ils avaient déjà remarquée en Orient : elle allait devant eux, et quand elle arriva au-dessus de l’endroit où se trouvait l’enfant, elle s’arrêta. Ils furent remplis d’une très grande joie en la voyant là. Ils entrèrent dans la maison et virent l’enfant avec sa mère, Marie. Ils se mirent à genoux pour adorer l’enfant ; puis ils ouvrirent leurs bagages et lui offrirent des cadeaux : de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Ensuite, Dieu les avertit dans un rêve de ne pas retourner auprès d’Hérode ; ils prirent alors un autre chemin pour rentrer dans leur pays.
C’est décidé en 2016 il y aura Des sourires pour chasser la tristesse, De l’audace pour que le meilleur advienne De la confiance pour faire disparaître les doutes, Des gourmandises pour croquer et déguster la vie, Du réconfort pour adoucir les jours difficiles, De la générosité pour le plaisir de partager, Des arcs en ciel pour colorer les idées noires, Du courage pour continuer à avancer !
Alors bonne et heureuse Année 2016 !! Paix, Joie, Bonheur en vous et à répandre autour de vous.