Reconnue par l’État en sa qualité de « Association Cultuelle », l’association qui gère la chapelle St Michel Archange s’est engagée à respecter les sept engagements prévus par le Contrat d’Engagement Républicain. Ils sont listés dans le décret n°2021-1947 du 31 décembre 2021.
La Chapelle St Michel et ses religieux vous accueillent et vous invitent à les retrouver en suivant les liens/raccourcis ci-dessous ou en scannant le QR-Code
Depuis quelques jours, le mot « Gallican » est associé au pire de ce que l’humain peut faire.
« L’affaire Raphaël Steck » nous touche même s’il ne fait plus partie de notre Eglise Gallicane depuis 2011. Depuis, il traçait son chemin au sein de la communauté alsacienne qu’il avait créée. Jamais nous n’aurions pu imaginer ce qu’il est devenu. Nos pensées et nos prières vont en premier auprès des enfants utilisés, abusés, détruits par le réseau pédocriminel démantelé. La justice des hommes va faire son travail contre tous les agresseurs ou manipulateurs de ce drame, qu’ils soient acteurs ou complices devant leurs écrans. Cette horreur nous bouleverse et la tourmente médiatique qui y est associée déstabilise les Gallicans, religieux et paroissiens, au-delà de la seule région d’Alsace.
Quelles que soient les tempêtes, notre détermination à proclamer l’Evangile est là, notre Foi ne tremble pas et notre héritage gallican est intact et toujours aussi précieux.
Avec l’aide de Dieu, continuons ensemble à être des messagers de l’espérance chrétienne, à témoigner que l’Amour est plus fort que tout et que la fraternité construit les hommes.
Dans mon premier livre, j’ai raconté tout ce que Jésus a fait et enseigné dès le début jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel. Avant d’y monter, il donna ses instructions, par la puissance du Saint-Esprit, à ceux qu’il avait choisis comme apôtres. En effet, après sa mort, c’est à eux qu’il se montra en leur prouvant de bien des manières qu’il était vivant : pendant quarante jours, il leur apparut et leur parla du Royaume de Dieu. Un jour qu’il prenait un repas avec eux, il leur donna cet ordre : « Ne vous éloignez pas de Jérusalem, mais attendez ce que le Père a promis, le don que je vous ai annoncé. Car Jean a baptisé avec de l’eau, mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés avec le Saint-Esprit . » Ceux qui étaient réunis auprès de Jésus lui demandèrent alors : « Seigneur, est-ce en ce temps-ci que tu rétabliras le royaume d’Israël ? » Jésus leur répondit : « Il ne vous appartient pas de savoir quand viendront les temps et les moments, car le Père les a fixés de sa seule autorité . Mais vous recevrez une force quand le Saint-Esprit descendra sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’au bout du monde . » Après ces mots, Jésus s’éleva vers le ciel pendant que tous le regardaient ; puis un nuage le cacha à leurs yeux. Ils avaient encore les regards fixés vers le ciel où Jésus s’élevait, quand deux hommes habillés en blanc se trouvèrent tout à coup près d’eux et leur dirent : « Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous là à regarder le ciel ? Ce Jésus, qui vous a été enlevé pour aller au ciel, reviendra de la même manière que vous l’avez vu y partir. »
Evangile selon Saint Marc 16, 14-20
Enfin, Jésus se montra aux onze disciples pendant qu’ils mangeaient ; il leur reprocha de manquer de foi et de s’être obstinés à ne pas croire ceux qui l’avaient vu vivant. Puis il leur dit : « Allez dans le monde entier annoncer la Bonne Nouvelle à tous les êtres humains. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; mais celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici à quels signes on pourra reconnaître ceux qui auront cru : ils chasseront des esprits mauvais en mon nom ; ils parleront des langues nouvelles ; s’ils prennent des serpents dans leurs mains ou boivent du poison, il ne leur arrivera aucun mal ; ils poseront les mains sur les malades et ceux-ci seront guéris. » Après leur avoir ainsi parlé, le Seigneur Jésus fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu. Les disciples partirent pour annoncer partout la Bonne Nouvelle. Le Seigneur les aidait dans ce travail et confirmait la vérité de leur prédication par les signes miraculeux qui l’accompagnaient.
Ce sont les prières et bénédictions de l’Eglise lors des 3 jours qui précèdent la fête de l’Ascension. Elles servent à la protection des cultures et des jardins.
A l’heure actuelle, je procède à la bénédiction d’un peu de terre que je partage ensuite avec celles et ceux qui le souhaitent. Ils peuvent ensuite répandre cette terre, dans leur jardin ou sur les fleurs de leur balcon, avec une prière pour la Bienveillance des Cieux sur nos cultures et nos plantations… évitant sécheresse ou trop de pluie.
Cette année, j’ai renouvelé la bénédiction de petites croix qui sont distribuées à la chapelle . Elles sont plantées ensuite dans les jardins, la croix tournée vers l’est et le soleil levant.
Je reprends une vieille tradition des monts du lyonnais, qui consistait à faire bénir des petites croix en bois, pour les « planter » dans les champs de blé ou d’orge, ainsi que dans les jardins, les porcheries, les étables. Ces croix étaient destinées à la protection de toutes les cultures destinées à nourrir les humains et les animaux. Une dernière croix était clouée à la poutre maîtresse de la maison d’habitation. Je garde encore le souvenir de ces croix fixées aux poutres, à la fin des années 60.
Ma mère m’a raconté qu’au début des années 60, il y avait 3 processions sur les 3 jours des Rogations. Le lundi dans une première direction, jusqu’à 1 kilomètre du village, pour la protection des pommes de terre. Le mardi, nouvelle procession dans une autre direction, pour une autre bénédiction. Enfin le mercredi, dernière procession dans une troisième direction, pour la bénédiction des blés. Ces processions se déroulaient tôt le matin.
Cette pratique s’est peu à peu éteinte, (autour de 1970) à cause de la mécanisation de plus en forte de l’agriculture, de l’arrivée des pesticides… Le contact étroit avec la dimension vivante de la terre disparaissant aussi, le rôle de ces bénédictions devint petit à petit moins primordial pour les chrétiens d’alors.
En 2025, il n’y a plus guère que l’Eglise Gallicane, pour poursuivre ces bénédictions et en exprimer le sens auprès des fidèles. Mais de nouvelles attitudes face à la nature sont en train de prendre forme et vie dans notre monde moderne.
Ces gestes et ces prières ont un sens profond, alors il ne faut pas les perdre et notre responsabilité est de les faire vivre.
tout don excellent et toute grâce parfaite viennent d’en haut ; ils viennent de Dieu, le créateur des lumières célestes. Et Dieu ne change pas, il ne produit pas d’ombre par des variations de position. Il a voulu lui-même nous donner la vie par sa Parole, qui est la vérité, afin que nous soyons au premier rang de toutes ses créatures.
Rappelez-vous bien ceci, mes chers frères : chacun doit être prompt à écouter, mais lent à parler et lent à se mettre en colère; car un homme en colère n’accomplit pas ce qui est juste aux yeux de Dieu. C’est pourquoi, rejetez tout ce qui salit et tous les excès dus à la méchanceté. Accueillez avec humilité la parole que Dieu plante dans votre coeur, car elle a le pouvoir de vous sauver.
Evangile: St Jean 16,5-14
Maintenant, je m’en vais auprès de celui qui m’a envoyé et aucun d’entre vous ne me demande : «Où vas-tu ?». Mais la tristesse a rempli votre coeur parce que je vous ai parlé ainsi. Cependant, je vous dis la vérité : il est préférable pour vous que je parte ; en effet, si je ne pars pas, celui qui doit vous venir en aide ne viendra pas à vous. Mais si je pars, je vous l’enverrai. Et quand il viendra, il prouvera aux gens de ce monde leur erreur au sujet du péché, de la justice et du jugement de Dieu. Quant au péché, il réside en ceci : ils ne croient pas en moi; quant à la justice, elle se révèle en ceci : je vais auprès du Père et vous ne me verrez plus; quant au jugement, il consiste en ceci : le dominateur de ce monde est déjà jugé.
« J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pourriez pas les supporter maintenant. Quand viendra l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité. Il ne parlera pas en son propre nom, mais il dira tout ce qu’il aura entendu et vous annoncera ce qui doit arriver. Il révélera ma gloire, car il recevra de ce qui est à moi et vous l’annoncera.
Nous voir 2 fois par an pour « La Semaine de l’Unité des Chrétiens » et pour « la Nuit des Veilleurs » … nous semblait trop peu maintenant. .. et puis cette année, signe du calendrier, nous avons tous célébré Pâques le même jour.
Les 4 communautés chrétiennes de Montbrison ont donc décidé ensemble de se retrouver une fois de plus au cours de l’année 2025. C’est une idée qui germait depuis déjà quelques temps.
Ce fut ce Dimanche 11 Mai autour d’un « repas partagé » avec les paroissiens et les religieux de chaque communauté. Nous avons vécu ensemble un moment différent, un temps convivial très réussi que tout le monde a apprécié. Il faut dire que depuis le temps que nous vivons l’oecuménisme à Montbrison, tout le monde se connait bien et s’apprécie. Nos différences nous enrichissent au lieu de nous diviser.
Don Martin, Curé, et la Paroisse Ste Claire-Ste Thérèse-en-Forez, nous ont invités et très bien accueillis en leurs locaux tous neufs. La chorale oecuménique a soutenu ce moment par des chants d’Unité au cours du repas. Une centaine de personnes, toutes communautés confondues ont répondu présentes. Une belle réussite !
je connais mes brebis et mes brebis me connaissent
comme mon Père me connait
et que je connais le Père ».
Epître du Bon Apôtre Pierre 1,2,21-25
C’est à cela qu’il vous a appelés; il vous a laissé un exemple afin que vous suiviez ses traces. Il n’a pas commis de péché ; aucun mensonge n’est jamais sorti de sa bouche. Quand on l’a insulté, il n’a pas répondu par l’insulte ; quand on l’a fait souffrir, il n’a pas formulé de menaces, mais il s’en est remis à Dieu qui juge avec justice. Dans son propre corps, il a porté nos péchés sur la croix, afin que nous mourions au péché et que nous vivions d’une vie juste. C’est par ses blessures que vous avez été guéris. Car vous étiez comme des moutons égarés, mais maintenant vous avez été ramenés à celui qui est votre berger et qui veille sur vous.
Evangile: St Jean 10,11-16
Je suis le bon berger. Le bon berger est prêt à donner sa vie pour ses brebis. L’homme qui ne travaille que pour de l’argent n’est pas vraiment le berger ; les brebis ne lui appartiennent pas. Il les abandonne et s’enfuit quand il voit venir le loup. Alors le loup se jette sur les brebis et disperse le troupeau. Voilà ce qui arrive parce que cet homme ne travaille que pour de l’argent et ne se soucie pas des brebis. Je suis le bon berger. Je connais mes brebis et elles me connaissent, de même que le Père me connaît et que je connais le Père. Et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis qui ne sont pas dans cet enclos. Je dois aussi les conduire ; elles écouteront ma voix, et elles deviendront un seul troupeau avec un seul berger.
Mes frères, éliminez en vous ce vieux levain pour que vous deveniez semblables à une pâte nouvelle et sans levain. Vous l’êtes déjà en réalité depuis que le Christ, notre agneau pascal, a été sacrifié. Célébrons donc notre fête, non pas avec du pain fait avec le vieux levain du péché et de l’immoralité, mais avec le pain sans levain de la pureté et de la vérité.
Evangile: St Marc 16, 1-7
Quand le jour du sabbat fut passé, Marie de Magdala, Marie mère de Jacques, et Salomé achetèrent des huiles parfumées pour aller embaumer le corps de Jésus. Très tôt le dimanche matin, au lever du soleil, elles se rendirent au tombeau. Elles se disaient l’une à l’autre : « Qui va rouler pour nous la pierre qui ferme l’entrée du tombeau ? » Mais quand elles regardèrent, elles virent que la pierre, qui était très grande, avait déjà été roulée de côté. Elles entrèrent alors dans le tombeau ; elles virent là un jeune homme, assis à droite, qui portait une robe blanche, et elles furent effrayées. Mais il leur dit : « Ne soyez pas effrayées ; vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qu’on a cloué sur la croix ; il est revenu de la mort à la vie, il n’est pas ici. Regardez, voici l’endroit où on l’avait déposé. Allez maintenant dire ceci à ses disciples, y compris à Pierre : «Il va vous attendre en Galilée ; c’est là que vous le verrez, comme il vous l’a dit».
Quand vous vous réunissez, ce n’est pas le repas du Seigneur que vous prenez : en effet, dès que vous êtes à table, chacun se hâte de prendre son propre repas, de sorte que certains ont faim tandis que d’autres s’enivrent. N’avez-vous pas vos maisons pour y manger et y boire ? Ou bien méprisez-vous l’Église de Dieu et voulez-vous humilier ceux qui n’ont rien ? Qu’attendez-vous que je vous dise ? Faut-il que je vous félicite ? Non, je ne peux vraiment pas vous féliciter !
En effet, voici l’enseignement que j’ai reçu du Seigneur et que je vous ai transmis : Le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain et, après avoir remercié Dieu, il le rompit et dit : « Ceci est mon corps, qui est pour vous. Faites ceci en mémoire de moi. » De même, il prit la coupe après le repas et dit : « Cette coupe est la nouvelle alliance de Dieu, garantie par mon sang. Toutes les fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi. » En effet, jusqu’à ce que le Seigneur vienne, vous annoncez sa mort toutes les fois que vous mangez de ce pain et que vous buvez de cette coupe.
C’est pourquoi, celui qui mange le pain du Seigneur ou boit de sa coupe de façon indigne, se rend coupable de péché envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun donc s’examine soi-même et qu’il mange alors de ce pain et boive de cette coupe ; car si quelqu’un mange du pain et boit de la coupe sans reconnaître leur relation avec le corps du Seigneur, il attire ainsi le jugement sur lui-même. C’est pour cette raison que beaucoup d’entre vous sont malades et faibles, et que plusieurs sont morts. Si nous commencions par nous examiner nous-mêmes, nous éviterions de tomber sous le jugement de Dieu. Mais nous sommes jugés et corrigés par le Seigneur afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
Evangile: St Jean 13,1-15
C’était la veille de la fête de la Pâque. Jésus savait que l’heure était venue pour lui de quitter ce monde pour aller auprès du Père. Il avait toujours aimé les siens qui étaient dans le monde et il les aima jusqu’à la fin. Jésus et ses disciples prenaient le repas du soir. Le diable avait déjà persuadé Judas, fils de Simon Iscariote, de trahir Jésus. Jésus savait que lui-même était venu de Dieu et retournait à Dieu, et que le Père avait tout mis en son pouvoir. Il se leva de table, ôta son vêtement de dessus et prit un linge dont il s’entoura la taille. Ensuite, il versa de l’eau dans une cuvette et se mit à laver les pieds de ses disciples, puis à les essuyer avec le linge qu’il avait autour de la taille. Il arriva ainsi près de Simon Pierre, qui lui dit : « Seigneur, vas-tu me laver les pieds, toi ? » Jésus lui répondit : « Tu ne saisis pas maintenant ce que je fais, mais tu comprendras plus tard. » Pierre lui dit : « Non, tu ne me laveras jamais les pieds ! » Jésus lui répondit : « Si je ne te les lave pas, tu n’auras aucune part à ce que j’apporte. » Simon Pierre lui dit : « Alors, Seigneur, ne me lave pas seulement les pieds, mais aussi les mains et la tête ! » Jésus lui dit : « Celui qui a pris un bain n’a plus besoin de se laver, sinon les pieds, car il est entièrement propre. Vous êtes propres, vous, mais pas tous cependant. » Jésus savait bien qui allait le trahir ; c’est pourquoi il dit : « Vous n’êtes pas tous propres. »
Après leur avoir lavé les pieds, Jésus reprit son vêtement, se remit à table et leur dit : « Comprenez-vous ce que je vous ai fait ? Vous m’appelez «Maître» et «Seigneur», et vous avez raison, car je le suis. Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. Je vous ai donné un exemple pour que vous agissiez comme je l’ai fait pour vous.