- Ecouter: Kyrie
« Kyrie eleison » ou « Seigneur prends pitié » (en grec) est le premier chant de la messe.
Kyrie eleison
Christe eleison
Kyrie eleison
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« Kyrie eleison » ou « Seigneur prends pitié » (en grec) est le premier chant de la messe.
Kyrie eleison
Christe eleison
Kyrie eleison
Dimanche 1/04 : Bénédiction des Rameaux et Messe à 10h30
Nous vous invitons à venir célébrer avec nous la messe des rameaux et la distribution de ces buis bénis qui restent en nos foyers tout au long de l’année. Ils nous rappellent les louanges faites au Christ, le témoignage public d’amour et de reconnaissance au Christ par le peuple de Jérusalem quelques jours avant sa mort.
Ils sont pour nous le symbole de la protection que nous assure la victoire du Christ par sa résurrection.
Vendredi Saint 6/04 : Prières et Méditation sur la lecture du chemin de croix
Un moment de recueillement pour sentir en nos coeurs la solitude du christ et son amour pour les hommes en ses derniers instants de vie sur terre.
« Il languit, abreuvé de fiel; les épines, les clous, la lance transpercent son corps délicat. L’eau coule avec le sang: la terre, la mer, les astres, le monde entier, dans ce fleuve sont purifiés » (Liturgie de la Passion)
Samedi Saint 7/04 : Veillée Pascale à 20h30, avec bénédiction de l’Eau Baptismale et du Cierge Pascal
« Rendez grâce au Seigneur car Il est bon, Eternel est son amour » (Psaume 117)
Dimanche de Pâques 8/04 : Solennité de la Résurrection
Alleluia! Christ est ressuscité … OUI, c’est la Vérité.
Christ est ressuscité des morts et nous entraine à sa suite pour nous faire accéder à la vie éternelle. »
« Répandez en nous Seigneur votre Esprit de charité afin qu’après nous avoir nourris du Sacrement Pascal, votre amour paternel garde nos coeurs dans l’unité » (Messe de Pâques)
Avec le dimanche de la Passion nous entrons dans le dernier temps du carême. Nous souffrons avec le Christ, lorsque les lectures de l’Évangile nous font partager ses difficultés. Nous entrons alors dans ce que l’on appelle : le mystère de la croix.
La période qui s’ouvre et qui va jusqu’à Pâques développe 4 thèmes principaux :
le Christ est rejeté par son peuple
le Christ persécuté prie son père
le Christ fait de sa persécution le moyen du salut des hommes
le peuple prend conscience de son erreur
Ce temps n’est pas encore celui de la violence des dernières heures mais nous voyons monter l’opposition des chefs de l’église dans cet Evangile de Jean. Cette opposition est de plus en plus forte et marquée. Le Christ n’arrive plus à se faire entendre et comprendre. Jean nous fait vivre ce blocage de plus en plus irréductible. Pour les juifs la parole du Christ est un blasphème. Le refus est net : les hommes ne veulent pas de Celui qui se présente comme le Fils de Dieu.
C’est la plainte du Christ qui monte vers Dieu à travers les mots des psaumes (antienne, graduel, trait). Comme les prophètes qui sont venus avant lui, le Christ est incompris et persécuté. Ces prières traduisent la souffrance liée au décalage entre les aspirations de la nature humaine et les aspirations divines: Le Christ s’est revêtu de notre humanité et il comprend, dans son âme, la difficulté des hommes à suivre la voie que leur offre Dieu.
Le Christ prend pleinement conscience que la mort voulue pour lui par les grands prêtres est inévitable. Caïphe a prophétisé à son sujet : « il est bon qu’un homme seul meurt pour éviter la perte de tout le peuple ». Jésus accepte son sacrifice et cela ajoute encore à sa peine et à sa douleur.
Le Christ perçoit alors encore le sens et le moyen de sa mission. Il comprend que le sacrifice de sa vie devient une réalité. « Quand je serai élevé de la terre, j’attirerai tout à moi. » C’est l’image du grain de blé qui tombe en terre et qui meurt pour porter beaucoup de fruits. Par le sacrifice de la croix, le Christ se place dans la perspective du sacrifice expiatoire du peuple juif : le sacrifice du « pardon » du peuple juif se déroulait avec la présentation de deux agneaux, l’un était relâché (comme Barabbas), le second était sacrifié. Le jour du sacrifice était la veille de la pâque juive, soit le vendredi saint. L’agneau du sacrifice portait une étoffe rouge (comme le manteau dont le Christ sera revêtu par les soldats). Cette étoffe représentait la charge des péchés de toute la communauté (comme le Christ se chargera de tous les péchés du monde). Après le sacrifice, le peuple est aspergé avec le sang des moutons (comme la parole du peuple à Pilate « tue-le, et que son sang retombe sur nous »). Par ce geste le peuple était lavé de ses péchés.
Tous les aspects du sacrifice de la pâque juive sont présents dans le sacrifice de la croix…. mais c’est un homme, le Christ, vrai homme et vrai Dieu qui est sacrifié pour dépasser et accomplir tous les sacrifices et changer la face de l’humanité. Le Christ n’a pas aboli la Loi mais il l’a transcendée, dans l’amour, pour le genre humain tout entier et pour son Père.
A voir souffrir le Christ, nous prenons conscience de nos propres erreurs. En grec, le mot péché se traduit par « faire un pas de côté », « dévier de sa route », « ne pas atteindre son but ». Nous sommes loin des lieux communs habituellement entendus sur la notion de péché. C’est la prise de conscience de notre distance par rapport à ce que doit être le but de notre vie; la conscience de notre écart par rapport à la voie divine. Le péché, s’est d’être séparé de Dieu, parce que l’on prend un chemin qui nous en éloigne. « Et ne permets pas que nous soyons jamais séparés de toi » dit avec insistance la messe de Gazinet.
C’est le sens du voile tendu dans le temple qui empêche le peuple de percevoir le Saint des Saints. C’est le symbole des statues et de la croix voilées au vendredi saint. Nous sommes séparés de Dieu. Après la mort du Christ, le voile du temple qui se déchire symbolise la promesse à venir : oui nous verrons Dieu en face.
Voici ce qui est à vivre en nos coeurs et dans la dimension de l’esprit au cours des deux semaines qui viennent. Que le mystère de la croix et sa méditation nous conduisent nous aussi à déchirer le voile qui obscurcit notre âme, pour aller jusqu’au matin de Pâques, avec le Christ, dans sa résurrection et pouvoir dire ensemble: Il est ressuscité, OUI c’est la Vérité.
Père Robert
Epître : Paul aux Hébreux 9, 11-15
11 Mais le Christ est venu comme grand-prêtre des biens déjà présents d . Il a pénétré dans une tente plus importante et plus parfaite, qui n’est pas construite par des hommes, autrement dit qui n’appartient pas à ce monde créé. 12 Quand le Christ est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, il n’a pas offert du sang de boucs et de veaux ; il a offert son propre sang et nous a ainsi délivrés définitivement de nos péchés. 13Le sang des boucs et des taureaux et les cendres de la vache brûlée e , que l’on répand sur les personnes impures par rapport aux rites, les purifient de cette souillure extérieure. 14 S’il en est bien ainsi, combien plus efficace encore doit être le sang du Christ ! Par l’Esprit éternel, il s’est offert lui-même à Dieu comme sacrifice parfait. Son sang purifiera notre conscience des actions néfastes, pour que nous puissions servir le Dieu vivant.
15 Voilà pourquoi le Christ est l’intermédiaire d’une alliance nouvelle, afin que ceux qui ont été appelés par Dieu puissent recevoir les biens éternels qu’il a promis aux siens. Ils le peuvent parce qu’une mort est intervenue, grâce à laquelle les humains sont délivrés des fautes commises sous la première alliance.
Evangile : Jean 8, 46-59
46 Qui d’entre vous peut prouver que j’ai péché ? Et si je dis la vérité, pourquoi ne me croyez-vous pas ? 47 Celui qui est de Dieu écoute les paroles de Dieu. Mais vous n’êtes pas de Dieu et c’est pourquoi vous n’écoutez pas. »
48 Les Juifs répondirent à Jésus : « N’avons-nous pas raison de dire que tu es un Samaritain et que tu es possédé d’un esprit mauvais ? » — 49 « Je ne suis pas possédé, répondit Jésus, mais j’honore mon Père et vous, vous refusez de m’honorer. 50Je ne cherche pas la gloire pour moi-même. Il en est un qui la cherche pour moi et qui juge. 51 Oui, je vous le déclare, c’est la vérité : celui qui obéit à mes paroles ne mourra jamais. »
52 Les Juifs lui dirent : « Maintenant nous sommes sûrs que tu es possédé d’un esprit mauvais ! Abraham est mort, les prophètes sont morts, et toi, tu dis : «Celui qui obéit à mes paroles ne mourra jamais.» 53 Abraham, notre père, est mort : penses-tu être plus grand que lui ? Les prophètes aussi sont morts. Pour qui te prends-tu ? » 54 Jésus répondit : « Si je me glorifiais moi-même, ma gloire ne vaudrait rien. Celui qui me glorifie, c’est mon Père. Vous dites de lui : «Il est notre Dieu»,55 alors que vous ne le connaissez pas. Moi je le connais. Si je disais que je ne le connais pas, je serais un menteur comme vous. Mais je le connais et j’obéis à ses paroles. 56 Abraham, votre père, s’est réjoui à la pensée de voir mon jour ; il l’a vu et en a été heureux. » 57 Les Juifs lui dirent : « Tu n’as pas encore cinquante ans et tu as vu Abraham z ? » 58 Jésus leur répondit : « Oui, je vous le déclare, c’est la vérité : avant qu’Abraham soit né, «je suis a ». » 59 Ils ramassèrent alors des pierres pour les jeter contre lui. Mais Jésus se cacha et sortit du temple.
Le Vendredi 2 Mars 2012, des femmes chrétiennes de la Malaisie nous donnent rendez-vous pour prier ensemble autour du monde pendant 24 heures autour du thème
« Que règne la justice ! »
A Montbrison : à l’invitation des communautés réformée, catholique, orthodoxe, gallicane
A Saint-Étienne :
A Saint-Chamond :
A Marlhes :
En septembre une journaliste de « La Tribune, le Progrès », quotidien de Montbrison, réalise un article sur notre Eglise afin de nous aider à la faire connaître sur Montbrison et ses environs.
Séduite par notre démarche et nos motivations ainsi que par le message et les particularités de l’Eglise gallicane, un grand article nous présente.
Dix essais sur la conception anthropologique « corps, âme, esprit » Fromaget, Michel L’Harmattan , Paris – collection Culture et cosmologie – Parution : avril 2000 – Site de M.Fromaget
Résumé
La civilisation occidentale conçoit l’être humain et sa vie selon un paradigme dualiste. Mais l’humanité a connu et connaît encore des paradigmes anthropologiques non dualistes, comme le paradigme ternaire corps, âme et esprit. Le propos de ces essais, tout en mettant en lumière différentes modalités et implications du paradigme, est d’aider à mieux le penser pour pouvoir mieux l’explorer.
Quatrième de couverture
La civilisation occidentale a choisi depuis le second Moyen Age de concevoir l’être humain et sa vie selon un paradigme dualiste. Celui-ci, affirmant que l’être humain n’a d’autre réalité que physique et psychique, corporelle et mentale, le condamne de ce fait à vivre enfermé dans les limites étroites de sa «personne» et, de ce fait le coupe inexorablement, tant de son intériorité véritable que du monde extérieur, tant des animaux que des plantes, tant des autres hommes que de Dieu. Mais l’humanité a connu et connaît encore des paradigmes anthropologiques non dualistes dont le plus important est certainement le grand paradigme ternaire «corps, âme, esprit» qui, en Orient, marque d’une empreinte si profonde les conceptions de l’hindouisme, du bouddhisme et du taoïsme et qui, en Occident, joua un si grand rôle dans le christianisme ancien.
Le propos des dix essais formant cet ouvrage, tout en mettant en lumière différentes modalités et implications du paradigme «corps, âme, esprit», est de nous aider à mieux le penser pour pouvoir mieux l’explorer.
La Bible expliquée traduite de l’hébreu et du grec en français courant: l‘Ancien Testament intégrant les livres deutérocanoniques et le Nouveau Testament
Alliance biblique universelle , Villiers-le-Bel Parution : septembre 2004
Résumé
Propose une lecture simultanée de la Bible et des explications placées dans les marges. Avec du vocabulaire, un tableau chronologique et des plans de Jérusalem.
Les lecteurs de la Bible, dans toute leur diversité, ont pu constater que ce monument incomparable ne livrait pas facilement ses richesses.
Où commencer ? Comment appréhender les textes anciens, souvent émouvants, parfois déroutants ? Quels sens portent-ils aujourd’hui, et quelle peut être leur contribution à notre présent ?
La Bible Expliquée répond à ces questions essentielles. Elle offre des clefs de compréhension qui font d’elle un ouvrage de référence.
Sa traduction, dans un français contemporain, la rend particulièrement claire et accessible. Ses explications originales, à la portée de tous, respectent l’esprit des auteurs de la Bible. Elles replacent les textes dans leur perspective historique et religieuse. Elles en éclairent le message central. Elles invitent à une réflexion sur l’actualité de ces écrits. Elles en soulignent la profondeur spirituelle. Sa présentation conviviale en deux couleurs facilite une lecture simultanée du texte biblique et des explications correspondantes. Une équipe internationale et interconfessionnelle de quatre-vingts biblistes a travaillé pour accompagner le lecteur tout au long de son parcours, dans les passages connus et dans ceux qui le sont moins. La Bible Expliquée se garde de dicter une doctrine ou une morale, au contraire, elle laisse la parole à ce texte universel.
Chacun peut ainsi partir librement à la découverte de l’essentiel.
La chorale oecuménique de Montbrison s’est mise en place à partir de septembre 2011. L’idée avait été lancée lors de la semaine de l’unité des chrétiens afin de se réunir autour du chant et de préparer ensemble l’animation des célébrations oecuméniques.
Les répétitions se font alternativement à la salle Notre Dame et à la chapelle Saint Michel. Quatre communautés chrétiennes de Montbrison sont représentées et répètent ensemble les différents chants : « Témoins ensemble » « Réjouis-toi peuple fidèle » (ps 33) « Nada te turbe » « Ubi caritas ». « Nous marchons vers l’unité ». La découverte des autres, le partage et la volonté de passer ensemble de bons moments en chantant sont au coeur de la démarche de cette chorale ouverte à tous.
Celles et ceux qui veulent se joindre à nous peuvent le faire le 1er lundi de chaque mois à 20h. Contactez nous pour savoir le lieu qui varie en fonction des disponibilités de salle. Tel: 06 89 15 62 57
Afin de faire découvrir un peu plus l’Eglise gallicane et notre chapelle, nous avons mis en place cette journée porte ouverte avec des panneaux présentant l’Eglise et son histoire.
Une exposition d’images saintes dont quelques-unes très anciennes sont présentées aussi classées selon leur thème: baptême, communion, confirmation, vie de Jésus, les Saints, Pâques, Pentecôte…
Une information sur l’utilisation et le symbolisme des couleurs liturgiques est aussi présentée. Retrouvez la par ce lien: https://gallican-montbrison.fr/wp/?page_id=123