Environ 150 personnes, chrétiens de différentes confessions, se sont retrouvées pour prier ensemble sur le thème proposé cette année. La lumière de notre baptême rappelée par les lumignons a été le lien qui nous a uni lors de cette célébration.
« Nous avons écouté les Écritures que nous honorons et qui sont notre richesse, et nous avons été nourris ensemble à la même table de la Parole. Nous emporterons avec nous cette sainte Parole dans le monde car la même mission nous unit : celle d’être Sel de la terre, Lumière du monde, celle de proclamer les Hauts Faits du Seigneur. »
Célébration oecuménique du samedi 16 Janvier à 18h à l’Eglise St Julien de Montbrison
La chorale qui accompagne les célébrations oecuméniques se rassemble une fois par mois soit à la chapelle gallicane soit à la cure de Montbrison ou dans une salle à Champdieu pour découvrir de nouveaux chants et harmoniser les voix de et les instruments, piano et violon, sous la direction de Bernard.
C’est un vrai plaisir de chanter ensemble, une autre forme de prière dans la louange du chant.
Les communautés catholique, gallicane, orthodoxe et protestante de Montbrison vous invitent à une célébration commune pour la « Semaine de l’Unité des Chrétiens » suivant le fascicule proposé cette année par la Lettonie et validé par les Eglises.
Debout, Jérusalem, brille de mille feux, car la lumière se lève pour toi : la glorieuse présence du Seigneur t’éclaire comme le soleil levant. L’obscurité couvre la terre, la nuit enveloppe les peuples. Mais toi, le Seigneur t’éclaire comme le soleil qui se lève. Au-dessus de toi apparaît sa présence lumineuse. Alors des nations marcheront vers la lumière dont tu rayonnes, des rois seront attirés par l’éclat dont tu te mettras à briller. Regarde bien autour de toi, et vois tous tes enfants : ils viennent et se rassemblent auprès de toi. Tes fils arrivent de loin, on ramène tes filles en les portant dans les bras. En les apercevant, tu rayonnes de bonheur ; tu en es tout émue, ton coeur éclate de joie. Car les richesses de la mer arrivent chez toi, les trésors des nations affluent jusqu’à toi. Ton pays se couvre d’une foule de chameaux : ce sont les caravanes de Madian et d’Éfa, arrivant toutes de Saba. Elles apportent de l’or et de l’encens en chantant les hauts faits du Seigneur.
Evangile : St Matthieu 2,1-12
Jésus naquit à Bethléem, en Judée, à l’époque où Hérode était roi. Après sa naissance, des savants, spécialistes des étoiles, vinrent d’Orient. Ils arrivèrent à Jérusalem et demandèrent : « Où est l’enfant qui vient de naître, le roi des Juifs ? Nous avons vu son étoile apparaître en Orient et nous sommes venus l’adorer. » Quand le roi Hérode apprit cette nouvelle, il fut troublé, ainsi que toute la population de Jérusalem. Il convoqua tous les chefs des prêtres et les maîtres de la loi, et leur demanda où le Messie devait naître. Ils lui répondirent : « A Bethléem, en Judée. Car voici ce que le prophète a écrit : «Et toi, Bethléem, au pays de Juda, tu n’es certainement pas la moins importante des localités de Juda ; car c’est de toi que viendra un chef qui conduira mon peuple, Israël e .» Alors Hérode convoqua secrètement les savants et s’informa auprès d’eux du moment précis où l’étoile était apparue. Puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez chercher des renseignements précis sur l’enfant ; et quand vous l’aurez trouvé, faites-le-moi savoir, afin que j’aille, moi aussi, l’adorer. » Après avoir reçu ces instructions du roi, ils partirent. Ils virent alors l’étoile qu’ils avaient déjà remarquée en Orient : elle allait devant eux, et quand elle arriva au-dessus de l’endroit où se trouvait l’enfant, elle s’arrêta. Ils furent remplis d’une très grande joie en la voyant là. Ils entrèrent dans la maison et virent l’enfant avec sa mère, Marie. Ils se mirent à genoux pour adorer l’enfant ; puis ils ouvrirent leurs bagages et lui offrirent des cadeaux : de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Ensuite, Dieu les avertit dans un rêve de ne pas retourner auprès d’Hérode ; ils prirent alors un autre chemin pour rentrer dans leur pays.
C’est décidé en 2016 il y aura Des sourires pour chasser la tristesse, De l’audace pour que le meilleur advienne De la confiance pour faire disparaître les doutes, Des gourmandises pour croquer et déguster la vie, Du réconfort pour adoucir les jours difficiles, De la générosité pour le plaisir de partager, Des arcs en ciel pour colorer les idées noires, Du courage pour continuer à avancer !
Alors bonne et heureuse Année 2016 !! Paix, Joie, Bonheur en vous et à répandre autour de vous.
Car Dieu a révélé sa grâce, source de salut pour tous les humains. Elle nous enseigne à renoncer à une mauvaise conduite et aux désirs terrestres, pour mener dans ce monde une vie raisonnable, juste et fidèle à Dieu. C’est ainsi que nous devons attendre le bonheur que nous espérons et le jour où apparaîtra la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ. Il s’est donné lui-même pour nous, pour nous délivrer de tout mal et faire de nous un peuple purifié qui lui appartienne en propre et qui soit zélé pour faire des actions bonnes.
Voilà ce que tu dois enseigner, en usant de toute ton autorité pour encourager tes auditeurs et exhorter les fidèles, dans le Christ Jésus, notre Seigneur.
Evangile: St Luc 2,1-14
En ce temps-là, l’empereur Auguste donna l’ordre de recenser tous les habitants de l’empire romain. Ce recensement, le premier, eut lieu alors que Quirinius était gouverneur de la province de Syrie. Tout le monde allait se faire enregistrer, chacun dans sa ville d’origine. Joseph lui aussi partit de Nazareth, un bourg de Galilée, pour se rendre en Judée, à Bethléem, où est né le roi David ; en effet, il était lui-même un descendant de David. Il alla s’y faire enregistrer avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte. Pendant qu’ils étaient à Bethléem, le jour de la naissance arriva. Elle mit au monde un fils, son premier-né. Elle l’enveloppa de langes et le coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’abri destiné aux voyageurs.
Dans cette même région, il y avait des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leur troupeau. Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Seigneur les entoura de lumière. Ils eurent alors très peur. Mais l’ange leur dit : « N’ayez pas peur, car je vous apporte une bonne nouvelle qui réjouira beaucoup tout le peuple : cette nuit, dans la ville de David, est né, pour vous, un Sauveur ; c’est le Christ, le Seigneur. Et voici le signe qui vous le fera reconnaître : vous trouverez un petit enfant enveloppé de langes et couché dans une crèche. »
Tout à coup, il y eut avec l’ange une troupe nombreuse d’anges du ciel, qui louaient Dieu en disant :
« Gloire à Dieu dans les cieux très hauts, et paix sur la terre pour ceux qu’il aime! »
Soyez toujours joyeux d’appartenir au Seigneur. Je le répète : Soyez joyeux ! Que votre bonté soit évidente aux yeux de tous. Le Seigneur viendra bientôt. Ne vous inquiétez de rien, mais en toute circonstance demandez à Dieu dans la prière ce dont vous avez besoin, et faites-le avec un coeur reconnaissant. Et la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que l’on peut imaginer, gardera vos coeurs et vos pensées en communion avec Jésus-Christ.
Evangile: St Jean 1,19-28
Voici le témoignage rendu par Jean lorsque les autorités juives de Jérusalem envoyèrent des prêtres et des lévites pour lui demander : « Qui es-tu ? ». Il ne refusa pas de répondre, mais il affirma très clairement devant tous : « Je ne suis pas le Messie. ». Ils lui demandèrent : « Qui es-tu donc ? Es-tu Élie ? » — « Non, répondit Jean, je ne le suis pas. » — « Es-tu le Prophète ? » dirent-ils. « Non », répondit-il. Ils lui dirent alors : « Qui es-tu donc ? Nous devons donner une réponse à ceux qui nous ont envoyés. Que dis-tu à ton sujet ? » Jean répondit : « Je suis«celui qui crie dans le désert :Préparez un chemin bien droit pour le Seigneur !» » — C’est ce qu’a dit le prophète Ésaïe. — Parmi les messagers envoyés à Jean, il y avait des Pharisiens; ils lui demandèrent encore : « Si tu n’es pas le Messie, ni Élie, ni le Prophète, pourquoi donc baptises-tu ? » Jean leur répondit : « Moi, je vous baptise avec de l’eau ; mais il y a au milieu de vous quelqu’un que vous ne connaissez pas. Il vient après moi, mais je ne suis pas même digne de délier la courroie de ses sandales. » Tout cela se passait à Béthanie, de l’autre côté de la rivière, le Jourdain, là où Jean baptisait.